30 Haziran 2016 Perşembe

Un Nouveau Chapitre en la Politique Etrangere de la Turquie


Les observateurs turcs and internationales s’expriment leurs idées sur le changement de la politique étrangère de la Turquie dans les derniers jours. Grace au Consensus de Rome en juin 27, 2016, la Turquie et l’Israël ont signé une protocole pour normaliser les relations bilatéraux. En même temps, Monsieur Recep Tayyip Erdoğan a envoyé une lettre officielle à Kremlin, au chef de la Russie, Monsieur Vladimir Poutine, afin de déclarer le chagrin à cause des relations problématiques entre deux pays après la crise de jet. Ces deux événements montrent qu’il y a un changement assez important dans la politique étrangère de la Turquie. Mais alors pourquoi ce changement réalise et pourquoi maintenant?

La première raison de ce changement est la démission de Monsieur Ahmet Davutoğlu, l’ancien premier ministre de la Turquie qui a suivi une politique étrangère de principe mais risquée concernant la crise syrienne. Davutoğlu est un professeur des sciences politiques et il a composé et dirigé la politique étrangère de la Turquie lui-même. Mais maintenant, Monsieur Binali Yıldırım, le nouveau premier ministre et Monsieur Mevlüt Çavuşoğlu, le ministre des affaires étrangères, ont plus de pouvoir de contrôler la diplomatie turque.

Deuxièmement, l’échec de la diplomatie turque concernant la Syrie a obligé le pays de changer sa ligne de conduite. La Turquie a ouvertement supporté les groupes révolutionnaires Sunnites dans la guerre civile en Syrie, mais après l’apparition de DAESH (l’Etat Islamique), le pays a été accusé par les autres pays pour défendre terrorisme. Les groups révolutionnaires n’ont pas réussi à démolir le régime complètement. En outre, l’Etat Islamique a aussi commencé d’attaquer la Turquie comme ce pays n’a jamais favorisé le terrorisme et supporté seulement les groups modérés révolutionnaires contre la dictature de Bachar al Assad. La crise syrienne a commencé à déstabiliser la Turquie à cause des attaques terroristes de DAESH et de PKK. L’Etat turc a considéré ces attaques comme la menace de la Syrie, de l’Iran et de la Russie, les pays voisins de la Turquie qui défendent toujours le régime d’Assad et ne veulent pas l’expansion de la démocratie comme ils ont des régimes autoritaires. Alors, la Turquie maintenant veut avoir des relations pacifiques avec la Russie et l’Israël pour diminuer les risques de terrorisme.

Troisièmement, l’économie de la Turquie a aussi été influencée négativement de la crise avec la Russie. Les activités touristiques et de commerce entre les deux pays ont sévèrement baissé dans les mois dernières après l’embargo imposé par la Russie. La Russie aussi a été influencé terriblement de cette crise. De plus, les réserves de gaz naturel dans la Méditerranée auprès de la Chypre, l’Égypte et l’Israël ont déclenché les pays méditerranéens de collaborer pour établir un nouveau chemin d’énergie entre l’Orient et l’Europe (l’Occident) qui peut réduire les prix d’énergie. Alors, la Turquie et l’Israël veulent aussi développer leurs économies après le procès de normalisation.

Le changement de la politique étrangère de la Turquie va probablement continuer avec la normalisation avec la Russie et l’Egypte. Mais pour une période de stabilité, la Turquie doit attendre pour les résultats de l’élection présidentielle aux Etats-Unis et les politiques étrangères américaines en direction de Moyen-Orient.

Dr. Ozan ÖRMECİ

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